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14 mai 2012 1 14 /05 /mai /2012 00:00

  Un rappel c'est vendredi 08 juin à Vitrolles (Fontblanche) qu'a lieu la belle soirée blues avec le groupe Mercy et Pilogue en solo et en première partie pour un voyage au coeur du blues et de son histoire.

Début des hostilités à 20h30; tarifs 15 euros, 12 euros pour les adhérents Charlie Free et 10 euros pour les chomeurs, les étudiants sur présentation de justificatifs et d'un extrait de casier judiciaire vierge, parce que bon on sait très bien, étudiants et chômeurs c'est de la graine de voyou (euh, là je blague, je le précise au cas où vous auriez perdu votre sens de l'humour suite à des circonstances indépendantes de ma volonté).

Pour réserver (et c'est indispensable)  06.85.75.43.23 / rene.agarrat@wanadoo.fr

 

JohnnyMoores3Blazers.jpg

 

 

 

 

La musique de Johnny Moore suscite des images du Los Angelès branché des années 40-palmiers, brises océanes, costumes croisés et chapeaux feutres, et d'accueillants clubs blues aussi relaxants qu'un cocktail un vendredi soir. Comme presque tous les guitaristes électriques à l'époque et depuis, Moore fut fortement influencé par le tout puissant T Bone Walker.

La combinaison de ses racines jazz avec un swing blues et des ballades produisit un style plus harmoniquement aventureux, si moins énergique, que T Bone et Gatemouth Brown.

 

Moore est né le 20 octobre 1906 et décédé le 06 janvier 1969. A la fin des années 30 et début des années 40, il avait un trio, The Three Blazers avec guitare, basse et piano. Il avait été formé comme le groupe de Nat King Cole, la formation à la mode alors quand les big bands disparaissaient après leur âge d'or dans les années 30.

En 1944, Moore rencontra le pianiste/chanteur Charles Brown, qui s'était récemment installé à Los Angeles souhaitant poursuivre sa carrière musicale sur la scène bourgeonnante des clubs californiens. Ce fut une rencontre fortuite. Après quelques répétitions, ils passèrent une audition dans un club local, terminant premiers devant une vingtaine d'autres trios. Les Three Blazers de Johnny Moore avec Charles Brown allaient écrire leur propre chapitre dans l'histoire du blues d'après-guerre.

 

 

 

 

 

Bien que Moore ait poursuivi une carrière en jouant et enregistrant après sa rupture avec Brown, les quatre années qu'ils passèrent ensemble furent de loin les plus productives et prolifiques pour les deux. En 1945 ils éclataient nationalement avec ''Driftin' blues'' et en 1946 étaient nommés meilleur trio de R&B par les magazines Cashbox et Billboard.

 

 

 

En 1947, ils gravaient le classique éternel ''Merry Christmas baby''. La même année, le frère de Johnny, Oscar, qui avait été guitariste pour Nat King Cole, rejoignit le groupe en tant que membre permanent ; Oscar s'était déjà joint à eux de manière occasionnelle sur disque et ses enchainements d'accords jazzy ajoutèrent une autre couche de sophistication.


 

Le pacte rémunérateur entre Johnny Moore et Charles Brown se termina sur une querelle financière en 1948.

 

 

 

 

Bien que Moore conservât les droits pour les Three Blazers et essayât une tripotée de nouveaux chanteurs(Billy Valentine, Mari Jones, Frankie Ervin), le grand Charles Brown ne put être remplacé. Une époque se terminait, et au milieu des années 50, malgré les efforts du fidèle Floyd Dixon parmi de nombreux autres artistes talentueux, l'étoile de Johnny Moore avait décliné.

 

 

 

 

Même comme obscure figure dans les annales du R&B, Johnny Moore a apporté une contribution qui va bien au-delà de sa fameuse association avec le légendaire Charles Brown. Les guitaristes de jazz en particulier, si tant est qu'ils aient une certaine ''bluesitude'', ont une dette envers ses glissements d'accords soyeux, ses plans de dominante,ses embellissements virevoltants qui  s'échappaient sans efforts de sa Gibson L5.

 

 

 

 

 

discographie

very-best-of.jpg

 

Merci à Dave Rubin et Inside the blues

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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 00:00

  Cette semaine, la suite de l'article sur T Bone walker

TBone-grand-ecart.jpeg

 

 

 

BB King a déclaré: «  J'ai essayé par tous les moyens d'obtenir le même son que lui, tout particulièrement à la fin des années 40 et au début des années 50. je m'en suis approché mais je n'ai jamais pu vraiment y parvenir. Dans ma tête aujourd'hui, j'entends toujours Stormy Monday Blues, le premier disque que j'aie écouté. Il a été le premier guitariste électrique que j'aie entendu sur disque; Il m'a fait une telle impression que je suis sorti et que je suis allé m'en acheter une »

 

Un document historique, TBone et BB ensemble, qualité très moyenne mais c'est l'histoire du blues live!

 

 

 

 

 

 

C'est T Bone qui a créé le personnage du chanteur de blues qui est aussi son propre guitariste électrique et qui a montré la puissance de cet instrument en développant des plans et des phrases qui aujourd'hui, 60 ans après sont toujours des éléments incontournables de la guitare solo.

Ses enregistrements des années 40 ont littéralement changé le monde de la musique populaire américaine et donc du blues.

 

 

Compositeur prolixe il a aussi et surtout été un fantastique novateur à la guitare. Non seulement il est l'un des tout premiers instrumentistes à avoir eu recours à l'amplification -privilège qu'il partage avec Eddie Durham au sein de la formation de Jimmy Lunceford , et Charlie Christian, mais il s'est aussi révélé un fantastique soliste. Il a été un des stylistes les plus purs de la musique noire américaine.

 

Dico-du-jazz.jpg

Alain Clergeat dans Le Dictionnaire du Jazz: ''Son jeu très clair, privilégiant les single notes, parfaitement aéré, tout de décontraction, de spontanéité, de swing est rehaussé par l'exceptionnelle qualité du son.''

 

 

Avec sa prestance et ses belles manières il fut aussi un modèle à suivre pour un public de migrants noirs assoiffés de réussite.

Ils sont nombreux à avoir confessé leur admiration pour lui: Duane Allman, Jeff Beck, Chuck Berry, Albert Collins, Eric Clapton, Buddy guy, Jimmy hendrix.

 

Gérard Herzhaft dans son Encyclopédie du Blues: ''Profondément ancré dans la tradition texane, T Bone s'inspire aussi de Lonnie Johnson; lorsqu'il improvise un solo de guitare, il semble dérouler une corde de notes en de multiples arabesques qui s'enchainent les unes aux autres ».

 

 

Son influence s'étendit bien au-delà de l'usage de la guitare électrique et de l'écriture de standards.

Il fut le premier à utiliser la guitare pour phraser comme un cuivre. Il utilisait également la guitare pour faire question réponse avec son chant, ce que d'autres avaient déjà fait mais pas avec un orchestre.

Il était aussi un showman qui jouait de la guitare dans son dos, faisait le grand écart et autres acrobaties.

 

album-blues-masters-the-very-best-of-t-bone-walker.jpg

 

 

Parmi les techniques de jeu qu'il développa, sa marque de fabrique est l'usage des accords 9 et 9add6, ainsi que sa manière de les aborder par des chromatismes ascendants ou descendants.; ceci nous conduit directement à Jimmy Nolen qui utilisera les mêmes clichés pour définir les bases de la rythmique funk au sein de l'orchestre de James Brown quelques 20 années plus tard. Ces disques montrent aussi T Bone comme la source d'un grand nombre de plans de guitare qui deviendraient plus tard les riffs identifiant Chuck Berry: son utilisation de notes bendées(on tire sur les cordes avec les doigts de la main gauche pour en faire varier la hauteur) en double-stops; le truc classique de glisser ou de tirer jusqu'à la quinte de la gamme sur la corde de sol et ensuite jouer immédiatement après la même note non travaillée sur la corde de si; et sa manière de répéter par cycles le même motif sur différentes parties de la grille en changeant les temps forts et faibles .

 

 

 

 

 

Et bien sûr, il y a ces lignes mélodiques subtiles en single notes, qui swinguent, avec l'usage reconnaissable entre mille de la neuvième et de la neuvième augmentée comme points culminant alternativement lors de phrases spiralées descendantes, typiques de T Bone mais toujours rafraichissantes et plaisantes à entendre.

 

 

En fait, une des choses les plus remarquables dans le jeu soliste de T bone, c'est sa manière de maintenir en éveil votre intérêt avec un nombre somme toute limité de plans et de techniques. Il y a beaucoup de techniques et de phrasés qui ne font pas partie de son répertoire; ses lignes mélodiques sont basées presque entièrement sur une position de la main gauche, et il n'utilise pratiquement jamais des bends soutenus de un ton ou plus ni des notes au vibrato prolongé pour ne citer que deux des techniques qui s'imposeraient dans le blues à la fin des années 50. Pourtant malgré ce vocabulaire technique réduit, ses solos sont toujours fascinant et un plaisir pour nos oreilles. Vous savez qu'il va utiliser les mêmes mouvements dans beaucoup de ses solos, mais il le fait toujours en phrasant de manière imaginative, expressive, et qui swingue avec une efficacité diabolique.

 

 

Ce qui rend ceci possible c'est son usage accompli de la dynamique: il est un vrai maître dans l'art de passer par tous les degrés de puissance et de douceur pendant le développement d'une impro, sonnant un peu comme un cuivre de jazz qui va inspirer ou souffler plus ou moins fort pour doser ses effets. Plus son sens inné et apparemment sans effort du swing et de la syncope, la manière qu'il a de toujours jouer avec et autour du temps.

 

 

 

 

On retrouve ces qualités dans son chant très velouté. C'est de la sophistication swing classique aux racines africaines. Il fait la même chose à la guitare qui sonne comme une personne en train de vous parler au sujet de sa douloureuse expérience de la vie. C'est sa grandeur; il n'a pas le coffre ni l'impact dramatique de Gospels Shouters comme BB ou Freddy King, mais son fabuleux sens du tempo et l'authenticité de son interprétation le rendent émouvant.

 

 

 

Il peut faire de l'humour léger avec "I Know Your Wig Is Gone," puis parler de misère et de résignation dans un blues très triste. "So tired I could cry, I could lay right down and die," (Si épuisé que je pourrais pleurer, m'allonger là et mourir chante-t-il dans "I'm In An Awful Mood," et nous ressentons la force de chaque mot. Et dans le dernier vers, avec une lueur d'espoir, il présente la modeste prière d'un malheureux  "Give me food, give me strength, so I can make just one more day." Donne-moi à manger, donne-moi un peu de ta force afin que je tienne juste un jour de plus. Frères et Soeurs c'est çà le blues.

 

 

 

 

Et une discographie pour finir

 

T-bone-imperial-records.jpg

 

Good-feelin-.jpg

Sur celui ci t bone met de la soul dans le blues, joue avec des frenchies et Manu Di bango au sax, çà groove...

 

t-bone-1947.jpg

 

t-bone-blues.jpgDe toutes façons il y en a plein en écoute sur deezer, alors régalez-vous et faites votre choix...

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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 00:00
Et d'abord mille excuses pour l'envoi précédent, j'étais en train de travailler sur une nouvelle rubrique, le blues d'ici et par erreur j'ai publié une idée d'article au lieu de sauvegarder, je vais donc le supprimer et le renvoyer prochainement.
Aujourd'hui un petit coup de vieux, mais lui est resté jeune, allez voir sa rubrique pédago sur sa technique guitare c'est très intéressant...
En fin d'article un autre lien pour récupérer des play backs à solos...



Du 15 au 18 août 1969. Bethel, New York. Environ  500,000 amoureux de musique se rassemblent à la ferme de Max Yasgur pour le festival des festivals, Woodstock. Des solos de guitare de Jimi Hendrix, Johnny Winter, Carlos Santana et  Alvin Lee électrifient l'atmosphère.

Bien que les mega watts et les murs de Marshall aient laissé leurs traces, l'homme barbu et en robe qui ouvrit Woodstock en jouant sur une guitare acoustique baignait dans des courants également puissants: la sincérité et la conviction. La version de "Freedom" par Richie Havens , basée sur un spiritial "Motherless Child" , donna le ton à la fois pour le festival et une génération.

Et Havens continuerait à créer bien plus qu'une interprétation éternelle d'un grand classique.

En  2003, le National Music Council attribua son American Eagle Award à Richie Havens pour ses contributions à la musique Américaine et pour offrir au monde"un modèle d'éloquence, d'intégrité et de responsabilité sociale".


Les quelques lignes suivantes sont extraites d'une interview donnée à Modern Guitars Magazine et traduites par mes soins, elles évoquent

internet.

"Rien n'a vraiment changé. Il y avait des albums pirates dans les sixties et aujourd'hui il y a le partage de fichiers sur internet. Ils ont juste trouvé une meilleure façon de le faire, avoir de la musique gratuitement. ce qui est bien aujourd'hui c'est qu'un artiste peut rencontrer directement son public sans passer par un intermédiaire; les gens peuvent aller directement sur le web pour les cd, dvd, et téléchargements. Je pense que c'est la meilleure chose qui soit arrivée, que la musique des gens soit disponible à travers le monde.

 

Je vous mets un lien super intéressant pour le site de Mr Havens, il y explique son accordage alternatif (en Ré) et montre, photos à l'appui comment il joue les accords avec cette technique de pouce si spectaculaire.

Des pages à sauvegarder et à ranger soigneusement pour tout amateur de guitare folk et blues link.

C'est en anglais mais les légendes des photos sont simples à comprendre.

Cet autre lien pour écouter des extraits de ses albums link

 

 

Beaucoup de choses sur le site suivant, allez dans la rubrique musique vous avez plusieurs backing tracks, mais n'hésitez pas à vous balader sur le site pour y glaner toutes sortes d'infos...link

 

A bientôt

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16 juin 2009 2 16 /06 /juin /2009 00:00
Avant notre page culture, n'oubliez pas le stage Kajdan les 14 et 15 juillet Jean Michel Kajdan à Auriol et écrivez-moi
pilogue@laposte.net si vous voulez des renseignements...


Chouette un guistar hero! Et un qui se la pète un max en plus...



Yngwie Johan Malmsteen, Lars Johann Yngwie Lannerback de son vrai nom, est né à Stockholm (Suède) le 30 juin 1963. Guitariste d'exception et grand virtuose, Malmsteen a autant été influencé par Jimi Hendrix ou Ritchie Blackmore que par Bach, Mozart, Vivaldi ou Paganini, qu'il remercie dans chacun de ses albums.



Il a développé  l'idée de jouer sur des manches scallopés(voir ci-dessus), un procédé datant du 17e siècle, qu'il fera reproduire, quelques années plus tard, sur sa Fender Stratocaster signature.

Un manche dit scaloppé est en fait un manche creusé. Cela signifie que lorsqu'on appuie sur une case le bout du doigt ne vient pas butter contre la touche, contrairement aux idées reçues cela ne procure pas un jeu plus rapide. Ca facilite, à la limite, le jeu sur les cases aigues notament sur les bends car les cases sont petites.

Mais c'est assez contraignant d'utiliser une guitare où les cases ont un scallopage. En effet  si on appuie trop ca sonne faux et on obtient un 1/8éme ou un quart de bend et la corde rentre dans les doigt, il faut à peine effleurer la corde sinon la note sonnera fausse.

Un scallopage peut se faire sur tout le manche (cf modèle signature Malmsteen de chez Fender) ainsi que sur 3 cordes ou sur un nombre délimité de case (cf modèles Lag et serie signature Steve Vai de chez Ibanez). Un manche scaloppé est en fait un manche creusé à partir de la 12ième case jusqu'aux dernière case.

 




 

 


 

 















Avant                                                                                    Après (çà fatigue la guitarhéroite)


Il réalise une vingtaine d'albums, sollicitant quelque neuf chanteurs (lui inclus), douze batteurs, treize bassistes (lui inclus) et cinq claviers...

Quelques pochettes toutes sobres et de bon goût




 


 














La technique hallucinante maîtrisée par Yngwie Malmsteen nourrit l'admiration chez les uns et suscite la critique chez les autres. En tous les cas, rares sont ceux qui peuvent rester indifférents. Autre élément de cette controverse, le comportement extrêmement prétentieux de Malmsteen et son mauvais caractère, deux traits de personnalité dont le « maître » s'est servi pour forger son personnage : un guitar'hero génial, certes doué, mais fier de lui et plutôt imbu de sa personne.

 

 

 


 

 

















Ce qui est incontestable aujourd'hui, c'est que Yngwie Malmsteen a marqué à jamais le monde du rock instrumental en général et l'univers des guitar'heroes en particulier.

Fondateur d'un style de musique (le métal-rock néo-classique), il demeurera, au même titre qu'un Van Halen comme l'instigateur du succès de la musique instrumentale et de la fascination du public pour les guitar'heroes.

Le succès des premiers albums de Malmsteen au milieu des années 80 est en effet à l'origine de la popularité rencontrée par ce style de musique auprès du public. Si les albums de guitaristes de génie tels que Joe Satriani ou Steve Vai ont pu être produits, c'est en partie grâce aux succès commerciaux d'albums comme Yngwie J. Malmsteen Rising Force (1984), Marching Out (1985), Trilogy (1986) ou encore Odyssey (1988).



Eine kleine fidéo pien zur!
link  pour écouter sur music me.

Toutes choses égales par ailleurs, il m'arrive de bien m'éclater en écoutant de temps à autres
Mister Malmsteen. En fait c'est comme la chantilly, un peu c'est un régal ensuite c'est le mal au coeur et la crise de foi qui guettent...

Si vous êtes sages, un jour je vous mettrai sur le blog quelques exrecices in ze staîle of ...
D'ici là, travaillez vos aller-retour de médiators et votre brushing.





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22 mars 2009 7 22 /03 /mars /2009 00:00







Si tu me plantes encore ce bend je t'éclate la tronche, compris? En plus t'as intérêt à venir à la Nuit du Blues samedi 04 Avril à L'Espace Culturel D'Auriol pour voir mon pote Pilogue et sa bande sinon je t'éparpille les boyaux aux quatre coins du blog...Tu réserves pour Auriol  en laissant un message sur ce blog ou au 04 42 72 82 74 .




Selon le magazine Blues Access, "Si vous cherchez un blues-rock tonique avec une voix aux inflexions de soul sudiste, votre quête touche à son terme. C'est de la musique pour faire la fête avec le potentiel pour captiver une audience au-delà des sphères du blues".


Le Tommy Castro Band a emballé le public avec sa fusion blues, R'n'b et rock depuis le début des années 90.

 

link

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Il fait partie d'une croisière blues intitulée The Legendary Rhythm and Blues Cruise depuis quelques années. Il se déroule à peu près 60 concerts au cours de ces croisières. Le bateau accueille environ 1800 participants et vous pouvez y voir(et entendre) au cours du même voyage Taj Mahal, Little Charlie and the Nightcats, Dr. John, The Derek Trucks Band, the Phantom Blues Band, Susan Tedeschi, Zac Harmon . Il ya également des auteurs compositeurs de Nashville qui se présentent et jouent de la guitare également et tout plein de boeufs avec les artistes.

Si vous voulez rêver et regarder les prix, voici le site, putain ils sont trop forts ces ricains...

link


Le site de Tommy qui est très bien fait avec même des tabs

link

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14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 00:00
Je comprends rien à cette tab, c'est du jazz ou quoi?

Galère d'internet, alice me fait la gueule et donc plus de tel et plus d'accès au blog. Voici quand même un petit quelque chose...






Jimmy Bruno





Jimmy Bruno, né le 22 juillet 1953 à Philadelphie, est un grand guitariste de jazz et éducateur.

Né dans une famille de musiciens (père guitariste et mère chanteuse),

il jouait parfois 8 heures par jour en pratiquant également de manière académique les études pour violon de Paganini.

Engagé à 19 ans par le batteur Buddy Rich, il fera le tour du monde avec lui avant d'intégrer de prestigieuses formations comme l'orchestre de Frank Sinatra ou Lena Horne.

Il sera également plusieurs années musicien de studio à Los Angeles.

Il décida ensuite de se consacrer uniquement au jazz, refusant les séances, les mariages et autre jobs rémunérateurs mais qui ne lui permettaient pas de jouer son style de prédilection.

Durant les années 80, il écume tous les clubs et festivals de Philadelphie et sa réputation de guitariste de grand talent grandit au fil du temps.

En 1492, il est découvert par Christophe Colomb, non je reprends; en 1992 il est découvert par Carl Jefferson, le fondateur des disques Concord et passe un contrat pour l'enregistrement de plusieurs CD. Il en a enregistré 13 à ce jour, certains en écoute sur Deezer; http://www.deezer.com/#music/artist/74584

Il a été invité à beaucoup de grands Festivals aux Usa. Il a travaillé avec de grands musiciens tels Joe beck, Tal Farlow, Christian McBride, Curt Elling...

Il a récemment entamé une troisiéme phase de sa carrière en ouvrant en mai 2007, le Jimmy Bruno Guitar Institute http://www.jimmybrunoguitarinstitute.com/public/main.cfm ; Avec son approche très personnelle du jazz et de la guitare jazz, il offre une vision un peu décalée (certains diront datée) de l'apprentissage de cette musique et du travail de l'improvisation.

Il est endorsé par les guitares Sadowsky.

Les lignes qui suivent sont tirées d'une interview qu'il a donnée au Modern Guitars Magazine et traduites par mes (tagada tsoin t)soins. J'espère qu'elles vous donneront matière à réflexion...



D 'après moi il y a tellement d'information disponible sur l 'apprentissage du jazz, que c'est un piège pour qui veut en jouer . Le risque est de se perdre et d'être certain de n'arriver nulle part en essayant d'apprendre.

Un bon prof

Il vous faut absolument un bon prof ou une approche de l'apprentissage qui vous plaise et vous y tenir. Gardez une ligne directrice. C'est bien d'explorer diverses méthodes, mais vous ne pouvez pas toutes les essayer et chacune peut se révéler complexe. Aussi vous faut-il trouver quelqu'un qui joue comme vous aimez et comprendre ce qu'il fait.

Beaucoup de gens souffrent de l'idée reçue qu'il faut commencer par réfléchir, «  si je joue ces notes sur cet accord alors je ferai de la musique ». En premier  jouez puis, plus tard, vous analyserez, mais seulement après avoir joué. Vous ne devriez pas composer en vous disant, je démarre avec D dorien sur Dm7. Seulement dans l'analyse, pas dans la conception.

Savez-vous comment les gens apprenaient avant que toute cette information soit disponible? Ils apprenaient par eux-mêmes, trouvaient leur propre voie.


Il faut vous libérer de penser à une certaine gamme sur un certain accord et vous devez écouter ce que vous jouez pour vraiment comprendre votre instrument. J'ai parfois l'impression que les gens font juste bouger leurs doigts mais n'écoutent pas vraiment. Vous devez vraiment vous sortir de la tête la relation accord/gamme. Quand vous travaillez essayez de ne jouer qu'avec la partie la plus aigue; choisissez une chanson ou une suite d'accords classique et jouez les aigues, cela peut vraiment apporter des éléments à votre vocabulaire. Ainsi quand vous travaillez vous  avez besoin de réfléchir, mais quand vous jouez vous avez besoin de ne pas réfléchir. Réfléchir et jouer peuvent vraiment vous bloquer et comprendre cela devrait vous aider.

                                                                                                                                        Libérez-vous de la gamme unique


Je voudrais ajouter que les guitaristes devraient commencer avec de courtes phrases mélodiques. Par exemple, prenez trois notes et astreignez-vous à ne jouer que celles-ci. Combien de mélodies différentes puis-je créer avec Do, ré, mi? Et peut-être ensuite ajoutez une autre note, un autre demi-ton, un Mib et regardez ce que çà donne. Vous allez vous y habituer et vos lignes deviendront plus complexes, vous aurez plus de contrôle sur votre jeu en travaillant des phrases longues/courtes/longues.

Ecoutez des cd's. En premier vous devez écouter et trouver quelqu'un dont vous aimez le style. Cherchez ensuite s'il a fait des vidéos ou des ouvrages pédagogiques. Mais vraiment la première chose à faire est d'écouter de la bonne musique (jazz, rock, et Pilogue rajoute blues) peu importe. Et souvenez-vous qu'un grand musicien n'est pas forcément un grand prof.

Une autre chose qui fout la merde (c'est moi qui traduit comme je veux ok?) c'est qu'avec tous ces real books et autres à disposition aujourd'hui, les gens apprennent avec eux mais donc ils ne développent pas leur oreille. S'ils apprenaient la musique à partir des disques ils devraient vraiment écouter la musique. Quand j'étais plus jeune nous jouions tous encore et encore par dessus les cd et trouvions note par note ce que jouait le guitariste.

Ce n'est vraiment pas très long si vous vous asseyez avec un lecteur cd et cherchez la musique à l'ancienne. En deux ans, la plupart des gens auront développé un bonne oreille. Les outils pédagogiques sont à double tranchant. Les bouquins sont de grandes sources d'informations pour les gens qui jouent déjà de la guitare, mais je crois qu'ils sont préjudiciables pour un débutant qui ne comprend pas ce qu'il entend. En écoutant un standard, je peux dire en entendant la mélodie de quelle part de l'accord qui l'accompagne elle provient, mais uniquement parce que j'ai fait çà très longtemps et encore aujourd'hui! J'ai tout appris à l'oreille ou avec d'autres musiciens.

Je ne pense pas qu'apprendre d'un livre soit une bonne manière de débuter.

Pour les kamikazes ou ceux qui ont du temps voici un lien pour la tab (partielle) d'un joli morceau extrait de l'album Burnin'. Le morceau c'est:     A rose for Peg link et la tab est là link

Voilà, vous commentez tout çà si vous voulez...



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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 23:07


Warren Haynes


Ce guitariste chanteur (auteur/compositeur) talentueux mais pas teuton du tout, adepte de Gibson, a un super groupe Gov't Mule et a vraiment relancé la carrière du Allman Brothers Band(depuis 1990). Prenez le temps de le découvrir à travers les clips suivants ainsi que les disques de Gov't mule et du Allman sur Deezer.





http://www.youtube.com/watch?v=n4s4hW-oGZ0


http://www.youtube.com/watch?v=_rYgsTVtbb0


http://www.youtube.com/watch?v=nf0BNlYY_RA


http://www.youtube.com/watch?v=twl8bINw6DY


http://www.youtube.com/watch?v=h_kkbdBln0A


http://www.youtube.com/watch?v=s8G4q52EsCc


http://www.youtube.com/watch?v=nZEWF_MHOig


http://www.youtube.com/watch?v=AZZW3KKIOOU



Et, en prime la tab de l'intro du morceau que vous écoutez, avec les accords. On est en la dièse en accordage standard mais en fait la guitare est accordée en Mib et il joue en position Si .J'ai du découper bizarement la tab pour qu'elle n'apparaisse pas trop petite. En fait la mesure 1 est une anacrouse et le thème est joué sur 4 mesures doublées.




Gamme penta maj de Ladièse plus la quarte juste de la gamme majeure (le ré dièse sur le temps 4 de la mesure 2 si on compte l'Anna Cruz).

Ensuite on monte d'un octave et oh le joli bend sur l'avant-dernière mesure.

Le tout n'est pas super dur, mais super joli. Ne vous focalisez pas trop sur la partoche mais écoutez bien, soyez in ze mood et régalez-vous!



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3 janvier 2009 6 03 /01 /janvier /2009 00:00
Ah, au fait çà y est! j'ai enfin reçu les doigts que certains d'entre vous m'avaient commandé. Après une petite greffe (sans anesthésie bien sûr) les plans les plus difficiles dont le fameux Oye como va ne devraient plus être un problème.



Luther Allison 1939-1997
Il faut lancer le lecteur si vous voulez écouter, et couper ceux des articles précédents. Cette deuxième manip ne devrait plus être nécessaire quand nous serons sur une nouvelle page....

Ce grand bonhomme du blues, que j'ai eu la chance de voir en concert, était d'une sincérité et d'une générosité rares. Il aimait vraiment la scène, les gens et la France.
Son jeu très agressif et expressif en faisait un bluesman avec une rock attitude très impressionnante sur scène et des concerts qui duraient souvent près de 3 heures.


Elevé au sein d'une famille de 12 enfants, Luther se passionne très vite pour la musique; Il commence à chanter dans le Gospel Group familial qui, à la fin des années 40tournera dans tous les états du sud, avant qu'il ne s'installe à Chicago en 1952, où il apprendra la guitare.

Il entre dans le groupe de son frère le Ollie Lee Allison Band qui se produira au 708 club de chicago entre 1954 et 1957 puis en 58 et 59 dans celui de son autre frère Grant Allison, appelé The Rolling Stones (çà me dit quelque chose çà...) et par la suite rebaptisé The Four Jivers.


La décennie suivante est celle de la maturation et de la confirmation. Il a l’occasion de se frotter aux héros du genre, Elmore James, B.B. King (qu’il ne cessera d’admirer), Magic Sam, qui deviendra un ami… Il est néanmoins obligé de poursuivre son boulot alimentaire - il avait appris le métier de cordonnier. C’est à la fin des années soixante qu’il peut enfin quitter son travail à l’usine. Sa réputation s’amplifie. Carlos Santana tape le boeuf avec lui. Luther Allison est invité dans les plus grands festivals. Les années soixante-dix entérinent son succès. Aucun bluesman n’avait signé, depuis dix ans, avec Gordy Motown, lorsque ce fameux label l’intègre à son catalogue en 1974.

Jusqu'à l'enregistrement d'un premier single en 1965 et d'un premier album "Love Me Mama" sorti chez Delmark Records en 1968.


Sa première grande prestation scénique a lieu en 1969, lors du Ann Arbor Blues Festival auquel il participera les 3 années suivantes. A cette époque, il fait le tour des Etats-Unis avec sa guitare et finit par décrocher un meilleur contrat en 1972 chez Motown, dont la spécialité n'est pourtant pas le blues.


Il découvre ensuite l'Europe où il jouit d'un accueil chaleureux: à Montreux dont le meilleur sera gravé sur l'album "Where have you been: Live in Montreux 1976-1994"  (2000). Mais aussi et surtout la France où il emménage en 1977. Durant 15 ans, il ne remettra pas les pieds dans son pays natal. Le blues démodé aux Etats-Unis est apprécié d'un public européen averti qui ne boude pas les longs solos de Luther et les moments où il s'adresse au public avec sa guitare.

Mais Luther s'oriente vers un blues marqué par le rock, notamment sur "Life is a bitch"(1983), ce qui n'est pas du goût des puristes.


En 1994, Allison et son agent européen, Thomas Ruf, fondent le label Ruf Records. Dans le même temps, Luther signe avec le label de blues Alligator Records pour distribuer ses disques aux Etats-Unis. C'est d'ailleurs son fondateur, Bruce Iglauer, qui convaint Luther de revenir jouer aux USA. L'album "Soul Fixin'Man" (1994) lui donne l'occasion de redécouvrir et d'élargir son audience en Amérique du Nord au fil des concerts. Allison remporte quatre W. C. Handy Blues Awards. L'album "Blues Streak" ne démentira pas ce succès croîssant.

En pleine tournée, en 1997, Allison se plaint de douleurs au torse et de problèmes respiratoires. Hospitalisé, il découvre qu'il a une tumeur au poumon en phase de métastase. Dans un état comateux, il décède le 12 août 1997 à Paris, laissant un ultime album, "Reckless". Son corps repose près de Chicago.

Sources: Les géants du Blues, Ed Atlas,
article paru dans L'Humanité le 14 août 1997, www.unplugged-cafe.org.


link
link  Luther n'était pas un mec chiant, la preuve, la guitare n'est pas prête, et alors, il chante sans jouer pendant que le road s'active comme un malade pour tout installer, ensuite comme c'est toujours pas prêt, il envoie Otis Rush(créateur de All your love) au solo,puis quand c'est prêt, à lui de s'éclater.
En plus il improvise un hommage à ses compères en lieu et place des paroles habituelles...
link


Des liens audio
link  spécial copinage avec Art'Rose Blues band
Album live, que le premier en écoute sur Deezer, mais c'est un double link
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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 00:00


Non, ne changez pas vos lunettes, vous n'avez pas trop bu, c'est bien une guitare d'extra-terrestre et c'est Pat Metheny qui conduit l'engin.


Après avoir débuté à la trompette, il découvre les Beatles  et se met à la guitare. Entre 14 et 20 ans, il s'entraîne entre 10 et 12h par jour!!!!!!!

Pour plus de détails sur sa bio link

Sa rencontre avec le pianiste Lyle Mays sera le déclencheur d'une magnifique carrière avec le Pat Metheny Group.

Il faut absolument découvrir l'album live Travels link

Dans le même style, Letter from home link.

Aussi en tant que Pat Metheny Works 1 et 2 link


Au niveau matos, tout le détail ici link avec en plus des transcriptions et des grilles d'accords pour les plus téméraires!


Il faut également aller toutes affaires cessantes sur le site de Linda Manzer link, luthière de Pat Metheny qui propose des guitares extraordinaires et des extraits vidéos sublimes pour certains modèles dont la Pikasso qui est sur la photo



Une phrase de lui  me le rend très sympathique: "Il y a plus de mauvaise musique en jazz que dans tout autre style. Peut-être parce que le public ne sait pas vraiment ce qui se passe."

C'est vrai que son phrasé et ses choix mélodiques (hormis quelques albums expérimentaux) sont particulièrement chaleureux et accessibles même à une oreille peu habituée aux richesses et sophistications du jazz.


Je ne vous mets pas de lien vidéo car il y en a sur le site Manzer guitars cité précédemment et sur you tube il y en a plein, découvrez-les par vous-mêmes.


Pour l'avoir vu en concert à l'époque de Travels, son magnifique album, je suis devenu un grand admirateur du bonhomme, même si çà reste platonique au niveau de la guitare.

On dira que si je jouais du JAZZ c'est un des guitaristes dont j'essaierai de suivre les traces.

 

Un rappel pour un lien publié à l'époque pré-blog et que certains parmi vous n'ont pas pu connaître: link

Ce lien vous permettra de télécharger gratuitement un petit logiciel léger et très pratique qui permet de ralentir la cadence d'un morceau(à partir d'un cd) sans altérer la tonalité et donc de travailler certains plans au ralenti. On peut créer des boucles pour bosser plusieurs fois d'affilée une partie difficile.Il permet également de changer la tonalité d'une chanson en la modifiant par demi-tons successifs (pratique pour les titres joués à l'origine en accordage de Mib ou pour travailler une chanson en fonction de votre voix).




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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 14:15

 

Les résultats sont enfin tombés and ze ouinneur iz....

Barock Obama!

Au programme de cet article, un guitariste de légende, Jeff Beck,  un lien de téléchargement et une info pour la Nuit du Blues du 04 Avril 2009.

On commence dans le désordre avec la Nuit du blues.

Un des invités sera Djamel Deblouze(oui je sais il fait peur en Bruce Willis marseillais, mais il est gentil) link  harmoniciste chanteur et fervent défenseur de la note bleue. N'hésitez pas à aller sur son site dont je vous ai mis le lien pour avoir plus d'infos sur le bonhomme.

Notez aussi que le cinquième Festival Rock'n'Auriol n'aura pas lieu le 13 juillet mais le 15 juiller 2009,  on en reparlera.

Vous n'avez pas de métronome sur votre ordinateur et du coup votre vie est très mal rythmée? Heureusement Pilogue vous sauve grâce à ce lien qui vous permet (après téléchargement)de grattouiller devant l'écran sans aller chercher dans le fond du coffre à linge sale où vous l'avez enterré après l'avoir brutalisé votre guitar toy favori. link

Jeff Beck

www.destination-rock.com/biographies/bioint.php?CODE=beck

Vous trouverez sa bio avec le lien ci dessus.

Les lignes ci-dessous sont empruntées à « Découvrir la guitare », Ed Fabbri

Entre rock et fusion, tradition et expérimentation, il est un des guitaristes rock dont le travail suscite toujours un grand intérêt.Son évolution musicale a connu diverses étapes, qui l'ont conduit à développer différents langages musicaux: après être passé du rock-blues des Yardbirds à celui plus dur des ex Vanilla Fudge, àla suite de son expérience avec Rod Stawart, il a abordé les atmosphères ethérées de la guitare fusion et même collaboré avec John Mc Laughlin.

En plus de sa versatilité, l'autre particularité de Beck est d'être un grand amateur de mélodies, un créateur d'ambiances et d'images utilisant les intervalles.

En effet, sa sonorité est souvent fondée sur des intervalles allant au-delà de l'octave (neuvième, onzième et treizième), qu'il fait chanter longuement avec des effets tels quel edelay et le phasing, ou le recours au vibrato.

Pour réaliser ceci, il a un toucher très propre qui lui permet de rendre des notes toujours bien « rondes » quel que soit l'effet utilisé.


www.youtube.com/watch?v=reuK2msTzec euh...je ramasse ma langue tombée par terre en bavant et je vous mets un autre lien.

www.youtube.com/watch?v=OgGvml0cOKA vu les harmoniques????? et le toucher en question!!!!

www.youtube.com/watch?v=3uwvBizKAwc

www.youtube.com/watch?v=2UIptI2rcjg putain, Stevie ray plus Beck çà dépote vegra!

www.youtube.com/watch?v=D3H1XDswBBA morceau qu'il jouait à l'origine au médiator et que son évolution l'a conduit à mener aux doigts maintenant.


Sur Deezer son dernier album www.deezer.com/#music/album/77795

un autre bel album, bien plus ancien www.deezer.com/#music/album/116127


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